Isabelle GRANGE
« Portraits d’ici, portraits d’ailleurs »
« J’ai toujours été inspirée par les gens que j’ai croisés.
Des centaines de croquis et d’esquisses, dix années vécues à New York m’ont familiarisée avec d’autres cultures, d’autres visages, et m’ont donné envie de peindre des portraits du monde entier.
Aujourd’hui, je m’intéresse autant aux peuples lointains qu’à mes voisins. J’observe longuement.
Puis j’imagine une histoire autour de chaque personnage. Je l’accompagne d’un accessoire, d’un animal ou d’un objet qui renforce ce qui le caractérise, qui met à nu son âme véritable.
Je travaille à l’acrylique, parce que sa rapidité de séchage correspond à l’instantanéité de ma créativité : j’aime jeter sur le papier ou la toile les traits esquissés d’une personne.
Je peins sur papier marouflé sur toile : le papier kraft correspond, de part sa couleur, à la chaleur de l’être humain, et de part sa texture douce, contrairement à une toile, à une douceur et une quasi sensualité que j’éprouve dans l’acte même de peindre.
Le portrait est la représentation figée d’un être à un instant présent ; je veux que sous cette apparence statique, l’étincelle de vie jaillisse. »
« Portraits d’ici, portraits d’ailleurs »
« J’ai toujours été inspirée par les gens que j’ai croisés.
Des centaines de croquis et d’esquisses, dix années vécues à New York m’ont familiarisée avec d’autres cultures, d’autres visages, et m’ont donné envie de peindre des portraits du monde entier.
Aujourd’hui, je m’intéresse autant aux peuples lointains qu’à mes voisins. J’observe longuement.
Puis j’imagine une histoire autour de chaque personnage. Je l’accompagne d’un accessoire, d’un animal ou d’un objet qui renforce ce qui le caractérise, qui met à nu son âme véritable.
Je travaille à l’acrylique, parce que sa rapidité de séchage correspond à l’instantanéité de ma créativité : j’aime jeter sur le papier ou la toile les traits esquissés d’une personne.
Je peins sur papier marouflé sur toile : le papier kraft correspond, de part sa couleur, à la chaleur de l’être humain, et de part sa texture douce, contrairement à une toile, à une douceur et une quasi sensualité que j’éprouve dans l’acte même de peindre.
Le portrait est la représentation figée d’un être à un instant présent ; je veux que sous cette apparence statique, l’étincelle de vie jaillisse. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire